[ PV Maya ] Nouvelle maîtresse (Vive l'originalité!)

Petite description:

La pièce dans laquelle je me trouve est brillamemnt éclairé. À vrai dire, par un coin ou recoin n'est pas exposé aux regards. Moi y comprit. Je ne suis d'ailleurs pas seul. Les murs sont d'un blanc d'oeuf jauni par les ans. Par ici, on ne prend pas le temps de repemturé trop souvent. De toute façon, les fortes odeurs de peinture me donne mal à la tête. Pas vous? Quelques cousins, si on peut appeller cela des cousins, sont jeté çà et là par terre pour les autres personnes qui partagent ma prison.

Contrairement à la croyance populaire, l'espèce n'est pas si restreinte. Je m'étais attendu à beaucoup plus petit. Nous sommes quatre garçons de mon âge environs, et nous nous partageons cet espace de vie avec un plus ou moins bon respect. Chaqu'un son coin! Pas mal. Même s'il m'arrive de m'étendre un peu trop. C'est souvent une claque qui m'attends, mais bon, j'ai connu pire. Alice, mon ancienne maîtresse, avait des goûts originaux pour les jeux de nuit.

Parfois, un maître passe devant notre cage, accompagné d'un vendeur, soit Michel ou Nadran, mais ils ne s'arrêtent jamais devant nous. Enfin, si. Des fois. Cependant, après une courte descriptions de nos cas, ils préfèrent aller voir ailleurs pour la majorité du temps. Pourquoi? Désobéissant. C'est se qui est écrit sur la petite affiche de notre cage. C'est Morise, un des mes compagnons d'infortune qui me l'a dit. Moi, je ne sais pas lire. Lui, ses parents étaient pauvre et pour subvenir à leur propre besoin, avait reçu une éducation plus ou moins bonne avant d'attérir à la réserve d'esclaves.

- J'm'ennuis... lanceais-je au bout d'un moment de parfait silence. Y'a rien à foutre dans cette cage.

Tous les autres grognent leur mécontentement. Lorsque je serai remplacé, je suis sûr qu'ils seront heureux d'acceuillir le nouveau venu. Moi, je traîne le mot boulet derrière moi. Ça devient pénible quelque fois de voir à quel point les gens sont pessimistes. Cependant, ce petit détail ne me gêne pas particulièrement: c'est exactement se que je veux.

Pour l'instant, je suis étendu sur le dos, les membres en étoile, et je regarde la lumière halogène du plafond. Seuls les barreaux et les rares passant offrent une mince distraction de temps en temps. J'en profite pour en reluquer certain, mais quand il s'agit d'un vieux, c'est pas super. Et les vieux pervers, il en existe un peu trop à mon goût...

Déviant mon regard de la lumière, ( J'espérais presque voir le long tunnel qui va avec tellement je m'ennuis. ) je promène plutôt mon regard comme le ciel sur les différents éléments du décors même si je les connais par coeur. Voilà se qui m'ennuis: L'inactivité. Battz-moi, violez-moi ou occupez-vous de moi comme si j'étais la chose la plus importante au monde, mais ne me laisser pas tout seul dans mon coin. Si vous voulez me tuer d'ennuis, c'est l'idéal.

Fermant les yeux, il est peut-être mieux de trouver le sommeil. Après tout, ça ferait des vacances à tout le monde...

[ Indulgence ^^'' Je commence à écrire de cette façon Alors je peux pas vraiment dire que mon style pour le moment est extra.]

Maya ouvrit les yeux lentement, observant les alentours d'un oeil attentif, l'autre n'étant plus que le reflet de son âme. Elle avait passée la plupart de la journée dans sa chambre, en robe de chambre, assise dans un riche fauteuil près d'une fenêtre. Parfois elle lisait un roman alors qu'à d'autres moments, elle ne faisait que plongée ses yeux dans le gris des nuages, examinant l'extérieure de la villa Woodcroft. Merinn avait tentée quelques fois de la faire sortir, mais en vint. La demoiselle semblait être dans une humeure un peu grognonne et préfèrait restée seule pour le moment dans son sactuaire de paix, c'est-à-dire, sa chambre. Franchement, ce n'était pas si difficile en comprendre en la voyant, mais il semblait que la pauvre Merinn ne le remarque point, laissant une jeune demoiselle de plus en plus énnervée par les constantes interruptions de la vieille dame, lui demandant de se vêtir pour au moins aller prendre un peu d'air. Maya savait que Merinn voulait bien faire, mais. . . elle n'était tout simplement pas d'humeur pour de tels enfantillages.

C'est donc avec un soupir que Maya se redressa de son fauteuil pour ensuite déposer son livre sur son bureau de travail avant de se diriger vers son garde-robe. Sa chambre était certe vaste, mais on ne pouvait la clifier de labyrinth, pas jusque là, franchement. Un tapis d'un blanc immaculé recouvrait le sol, le reste étant du bois flottant. Un lit double se tourvait à l'est de la chambre, couronné d'un ciel de lit. Deux tables de chevets se tenaient aux côtés du matelas recouvert de plusieurs draps d'une même couleur, blanc. Un bureau se tourvait près du balcon, au fond à gauche. Quelques armoires remplit de vêtements se tourvaient un peu partout dans la chambre, organisé d'une manière ordonnée et sophistiquée. Un lustre se tenait au plafond, donnant un air un peu plus chaleureux à la chambre.

Ouvrant les portes de l'une des armoires, Maya examina son contenu un moment. Après quelques minutes, un second soupir put se faire entendre. La demoiselle haussa alors des épaules, prenant la première chose que sa main toucha. Il s'agissait d'une simple robe de couleur orange avec des motifs d'un rouge pâle allant jusqu'au rouge foncé, donnant un air exotique au tisse. Les manches consistaient eu deux bretelles minces, desendant en un faible décolleté. Maya se changea alors rapidement, enfilant la robe. Celle-ci moullait bien sa silhouette, sinon, pourquoi l'aurait-elle achetée. Elle brossa rapidement ses cheveux et ne prit point le soin de les attachés, les gardant libre pour aujourd'hui. Elle mit les premières mulles qu'elle vit et qui se joignait bien avec la robe ainsi qu'une veste et son sc avant de sortir de sa chambre.
D'un pas tranquil, elle se dirigea vers le salon où Merinn se trouvait. En voyant la jeune dame arrivée, la vieille femme ne put que sourire. Maya l'informa qu'elle allait prendre une marche avant de se diriger vers le studio et quitta ensuite la villa. Malgré les nuages gris, annoncant la pluie, il faisait tout de même chaud à l'extérieure. Le vent n'était qu'une légèrement brise qui ne semblait rafraîchir personne. Le soleil, quant à lui, perçait quelques nuages, provoquant quelques halos de lumière par ici et par là. Une journée bien étrange. Glissant ses lunettes de soleil, Maya se mit en route, marchant d'un pas lent vers le studio. Elle devait encore travailler sur la mélodie de quelques pièces, chose à laquelle elle avait beaucoup de difficulté. Par contre, les paroles, elle n'éprouvait que de la facilité. Voilà pourquoi elle devrait se trouver quelqu'un pour l'aider, quelqu'un de confiance un de ses jours.

La demoiselle passa quelques heures dans le studio et réussit à écrire quatre nouvelles chansons. La prochaine fois, si l'équipe professionnelle était là, elle allait les enregistrées pour ensuite les ajouter sur sonIpod, accompagner de tout ses autres production. Pas besoin d'un Cv avec son joujou avec elle. Satisfaite, elle avait décidée de prendre une pause et d'aller se payer une petite sucrerie à un des nombreux restaurants de la ville. Mais alors qu'elle se fondait dans la foule, Maya remarqua quelque chose qui la fit halter lentement. Elle jeta un coup d'oeil vers la boutique : La réserve d'esclave. Maya ne put s'empêcher de grimacer, à croire qu'ils étaient fiers de vendre leur confrère et consoeur. Doucement, elle se dirigea vers la porte de la boutique et entra à l'intérieure, imitant plusieurs personnes, comme s'elle allait acheter un morceau de linge ou quelque soit d'autre. . . quelque chose qui se remplaçait facilement, si on suivait la mentalité de cette ville.

La première chose que vint en tête de la jeune fille en rentrant fut la mauvaise luminosité de la pièce. Certaiuns endroits étaient sombres, d'autres trop éclairer. Merde, s'ils avaient tant d'argent, pourquoi ne faisaient-ils pas un peu de réparation ? Et le service d'hygiène ? Oh pardon, c'est vrai, ce n'était que des humains mit en esclavage. . . tsk. D'un pas confiant, la demoiselle se dirigea vers l'un des vendeurs, prenant bien soin qu'il l'entende s'approcher. Les sourcils froncer, elle avait bien envie de lui enlever ce stupide sourire de fausse modestie encré sur son visage. Heureusement, un autre vendeur vint alors la voir et lui proposa gentillement de faire le tour et elle accepta calmement.
Mon dieu, que ne pouvaient-ils pas faire pour qu'on les remarque. Tout leurs commentaires, leurs actions, Maya se demandait s'elle éprouvait soit de la pitié ou du dégoût à certain moment. Mais que voulez-vous, la réalité était asser froide, trop froide. Ils arrivèrent finalement devant une cage contenant quatres jeunes hommes. Un petit écriteau se tenait devant elle. Désobéissants, hein ?

" Tsk. "

Fut sa seule réaction alors qu'elle croisait les bras sous sa poitrine pour ensuite tourner la tête, les sourcils froncés. Avant qu'elle n'entre, la demoiselle avait enlevée ses lunettes de soleil, voulant montrer sa déplaisance et son irritation à tout ceux qui le souhaitaient. Doucement, elle tourna de nouveau la tête vers les quatres escalves et les examina silencieusement. Elle se pencha même un peu, ignorant les quelques sifflements des cages derrière. Perverts. Un jeune homme attira un peu plus son attention. Cheveux blonds, c'est ce qu'elle remarqua en premier, et elle continua a attendre, ses yeux scrutant le blondinet curieusement.

{ Moi je trouve que c'est bien, le style se fait remarquer, je t'assure. ^^ }

Très vite, je m’étais endormi. Comment puis-je le savoir? J’avais à peut-être estimé le temps pendant lequel j’avais entendu mes colocataires d’infortune se plaindre de l’idiot que j’étais. À vrai dire, j’étais à moitié d’accord avec eux. Je n’avais jamais connu la réalité de l’extérieur, exception faites des balades avec mon ancienne maîtresse, et je devais être aussi doué en cuisine qu’un gamin qui espère faire un gâteau avec de la boue. Que voulez-vous? Mon éducation n’atteignait pas des sommets, et je devais l’accorder à qui me le disait. Je n’étais ni intelligent, ni débrouillard.

Dépendant. Voilà le mot qu’il aurait dû écrire en gros caractère sur la pancarte de la cage. Ignorant aurait aussi fait l’affaire, car j’ignorais bel et bien un bon paquet de chose sur la vie dans son ensemble, exception faites du sexe. Là, aucun problèmes! On m’avait donné le top en éducation dans ce domaine. Inutile les maths, le français, les langues ou même la biologie. Mon corps fonctionnait bien, alors s’était du temps perdu. Je n’étais qu’un esclave, rien de plus. Et on n’achète pas un esclave intelligent : cela lui donne la possibilité d’ouvrir lui même la serrure de sa cage.

Enfin! Comme je le disais, alors que j’enregistrais avec une certaine lassitude les commentaires de mes biens aimés compagnons d’infortunes ( Tant qu’à couler, coulons en groupe! ), le sommeil avait fini par m’emmener. Depuis que je me trouvais dans cette bâtisse, mes rêves avaient été de plus en plus semblable à des cauchemars. Parfois, il m’arrivait de me réveillé en sursaut. Ma vie d’avant me manquait terriblement pour tout dire. À quand le confort d’un lit et la chaleur d’une personne. S’il fallait que ma vie n’est qu’un sens, qu’on me permette au moins de pouvoir accomplir ma tâche.

Cette fois-ci, alors que je rêvais, je me retrouvai dans mon ancienne demeure, dans le grand salon richement décoré de mon Alice. La douce Alice elle-même assise confortablement dans un large fauteil de cuir marron, son préféré. La chaleur ambiante ne semblait pas m’atteindre, car je frissonnai de froid à chaque instant. Étais-ce un souvenir que mon corps avait enregistré avant de m’endormir? Les sensations que nous ne sommes pas censé ressentir lorsque nous dormons ( Un ami d’Alice m’avait raconté cela un jour.), peuvent parfois faire échos avec les sensations de notre subconscient. J’avoue ne dire cela que parce que je l’ai entendu, pas parce que je comprends. Pour retourner au rêve, cela ressemblait plus à un souvenir qu’autre chose, car j’étais conscient de ne pas être réellement présent.

Soudain, j’ouvris un œil, et le paisible rêve dans lequel j’étais s’effaça. À la place, je retrouvai l’odeur de produit ménager mélanger à celles de passants et de la nourriture. Sans m’en apercevoir, j’avais cacher mes yeux de la lumière d’un bras, et lorsque je le retirai pour me permettre de voir, ce fut le visage d’Alice que je vis. La surprise marqua mes traits, mais je réalisai rapidement qu’il ne s’agissait que d’une femme lui ressemblant. Les brunettes aux yeux bruns, il y en avait partout. Cependant, dans mon demi-sommeil, je murmurai ceci :

- Qui es-tu, belle étrangère? Un ange venu me sortir de cette cage? Ou un démon déguisé en nymphe pour mieux me tenter? Si cela est le cas, vas t’en! Je suis lasse de la douceur, elle ne m’apporte que douleur.

Héhé. Je suis doué. Non? Les beaux petits mots, mon ancienne maîtresse en raffolait. Je lui en inventais souvent pour lui faire plaisir. Maintenant, si je pouvais me sortir d’ici grâce à une imagination fertile, pourquoi ne pas tenter sa chance? Restait plus qu’à espérer qu’elle n’ait pas prit la dernière partie au sérieux…

Me redressant, je frottai mes yeux pour en effacer le sommeil, et examinai l’étrangère. Je n’avais pas mentis, du moins, en partie : elle avait un jolie visage d’un doux ovale. Ses cheveux cascadaient autour de ses épaules librement, se qui ajoutait à la touche « nymphe ». Cependant, un de ses yeux ne possédait pas cette petite étincelle qui vous fait signe que vous êtes regardé. Cet œil-là semblait…vide. Un vide d’émotion ou quelque chose du genre. J’en fronçai légèrement les sourcils. J’avais vu un jour un aveugle avec ce même détail, mais elle, elle semblait bien me voir. Toutefois, question de ne pas perdre des points, j’ignorai ce détail et le rangeai de côté.

- Alors? dis-je en lui donnant mon plus beau sourire.

J'étais bien content de moi. Elle avait eut l'air charmée? par les phrases improvisé que je lui avais servi. Elle s'était même approchée! Bien. J'avais encore une chance de sortir d'ici dans la journée. L'étrangère à l'étrange oeil étrangement vide (J'aime bien), ne se tennait plus qu'à quelques centimètres du fer rouillé qui me séparait de la liberté.

D'ailleurs, pendant un instant, elle semblait s'être perdue dans ses réflexions, mais lorsque j'avais froncé les sourcils, elle en avait fait de même. Puis, lorsque je lui avais parlé - Se n'était qu'un mot, mais ça compte pour une question! - elle avait semblée piquée par la curiosité.

- Alors quoi? répondis-je en gardant un ton de voix doux, mais s'en être suppliant ou en ayant l'air de se moqué d'elle. Vous avez envie de m'acheter ou pas?

Franchement, à moi, ça m'avait parut simplet à comprendre. Quels détours prennait-elle? Pour l'idiot sans étucation que j'étais - Au moins je me l'avou! -, s'était plutôt compliquer à enregistrer comme façon de faire. même si je pouvais en partie comprendre qu'elle, jouer avec moi ne la dérangeait pas. Désagréable? Pas du tout. J'aimais bien même.

Soudain, sans que je puisse l'enticiper, elle se retourna! Alerte! Ne t'en va pas douce étrangère! Tu es la clef de ma cage! Je crois bien qu'un de mes camarades bouffa en voyant mon air déconfiti. Maintenant qu'une occasion s'était présenté à moi pour sortir d'ici, il était hors de question que je laisse le poisson s'enfuir!

Et puis, dans un soupir de soulagement, elle se retourna après avoir fait signe au responsable des ventes de disposé pour un moment. Désoler mon vieux, le suspence restera à son comble jusqu'à la fin.

Dans un mouvement de l'index, elle me fit signe de m'approcher et se pencha une nouvelle fois vers moi. Mes yeux fixés vers les siens, je restai un moment immobile. J'hésitai légèrement, mais m'approchai finalement. Se n'était sûrement pas pour me giffler qu'elle faisait cela. Mes soupçons furent d'ailleurs confirmé par un toute petit phrase pour elle, mais qui signifiait beaucoup pour les gens faisant partit de la sous-classe dans laquelle j'étais né. '' Ne pas perdre la face, me dis-je intérieurement, reste calme et tu sortira d'ici. '' Accotant mon front contre les barreaux et continuant de fixer la jeune femme qui me faisait face, j'affichai un sourire mi-moqueur, sans être provoquant, et mi-enfantin, juste pour le style.

- Si vous ne me prennez pas, soufflais-je doucement, vous le regretterez toute votre vie.

L’envi de sortir de cet endroit inconfortable me démangeait de plus en plus. J’avais envi à la fois d’un lit confortable et d’un large espace pour sentir autre chose que la sueur et les forts parfums des riches. Je voulais un vrai repas, comme ceux que j’avais l’habitude de prendre avec Alice et de me reposer. Sous un arbre, sur un tapis devant un bon feu de foyer… N’importe où, tant que se n’était plus dans un endroit où j’étais un esclave en attente d’un maître. Tant que je n’étais plus un marchandise, mais une acquisition.
La peur de rester enfermer dans cette cage me quitterait alors, car j’avais à ce moment réellement peur qu’elle ne m’apporte pas, que je ne sois pas son élu. Après tout, peut-être se lasserait-elle de moi comme Alice, ma douce Alice, mais un peu plus rapidement? D’ailleurs, mon cœur se crispait quant au stress que m’imposait son silence. « Ne me laisse pas mon ange! » implorais-je en mon fort intérieur. « Je suis peut-être bête, mais je ne le suis pas encore assez pour prendre en horreur ces barreaux. »

Lorsqu’elle sourit, se fut une petite victoire de remporté pour moi. Elle ne se lasserait pas tout de suite de moi. Quelque peu soulager, je continuai à lui sourire. Puis, elle fit signe à mon geôlier de me faire sortir. Après une brève discussion entre eux, ma nouvelle maîtresse laissa Nadran ouvrir la porte formée de barreaux dans un crissement qui fit grincer toute la population de la pièce des dents. « Le meilleur des système d’alarme. » lançais-je tout haut. « Pas de danger que quelqu’un s’enfuit avec ce bouquant. » Un regard mauvais de ce dernier me fit taire. Pas envi de recevoir une claque pour le moment, j’étais trop heureux d’être sortit de ce mini enfer.

Puis, sans ajouter un mot, il referma la cage et repartit, laissant ma nouvelle maîtresse et moi seuls. Si j’avais eu la volonté de m’enfuir, la chose aurait été plutôt facile. Je portais encore les derniers vêtements qu’Alice m’avait préparée, noir et gris violacé, ils n’étaient plus spécialement propre, mais j’avais tout de même l’air plus « humain » que les autres esclaves présent. Finalement, s’était bien vrai que l’apparence était la chose la plus importante….dans un monde comme Olphéra en tout cas. J’étais bien content d’avoir un physique avantageux.

Puis, dans le temps que me prit ma petite réflexion personnelle, le vendeur revint avec une laisse entre les mains. Avais-je vraiment envi de me balader avec ce truc autour du cou? Pas vraiment. Je n’en avais jamais porté une pour tout dire. L’idée même de m’enfuir me semblait stupide, même atrocement stupide. Je ne savais pas vivre autrement quant vivant aux crochets de mon maître. Comme je l’ai dis, il n’y avait pas meilleur chaîne que l’ignorance.

Je ne sais pas si ses pensées allèrent dans ce sens, mais ma nouvelle propriétaire refusa poliment l’objet, décrétant que cela était inutile, qu’elle n’aurait probablement aucune difficulté avec moi. S’était d’ailleurs totalement vrai. Démentir serait me mentir à moi même. Puis, mes pensées furent interrompu par cette dernière. La regardant, mais évitant de trop la regarder dans les yeux, j’écoutai sa question. Avait-elle fait un bon choix? Très certainement! La laisse me faisait frissonner d’aversion et avoir ce machin autour du cou m’irritait à coup sûr la gorge. De préférence, je préférerais éviter toute douleur corporelle. S’était d’ailleurs la seule que je sache éviter.


- Tout dépend de la façon dont vous voyez la chose. dis-je. Du mien, oui.

[ Je post ou tu post à la Silk ? ^^ ]