Libéré ? Non
Nom : Satou
Prénom : Iriona
Âge : 19
Sexe : Féminin
Sexualité : Bisexuel
Histoire :
La pluie ne cesse de tomber sur ce petit village caché dans les broussailles . Une jeune hybride femme se fait martyrisé depuis l’aube par son maître, le seigneur du village. Ses cris résonnent dans la vaste chambre se qui a pour seul effet d’énervé son bourreau. À l’extérieur, deux petits enfants aussi déformé l’un l’autre écoute avec horreur les cris de leur mère.
-Crois-tu que maman vas s’en sortir? , dit alors le plus petit qui avait de longues antennes et des yeux de cristal.
-Je ne sais pas Silphy , dit le plus grand d’un ton qui se voulait rassurant malgré ses mandibules qui transformait parfois sa voix en sifflement. Je ne sais vraiment pas…
Puis, d’un coups, les hurlements cessèrent. Il était bien tard et les deux enfants avaient les paupières lourdes. On leur avait interdit de s’endormir pour qu’ils entendent leur mère se faire punir. La lourde porte s’ouvrit dans un grincement et un homme au traits sévères en sortit. L’homme en question était si en colère qu’il ne prêta pas attention aux enfants lorsqu’il cria à la femme rester étendue dans la pièce;
-La prochaine j’espère que ce sera une humaine sinon tu passeras à la corde!
Neuf mois passèrent et l’hybride donna naissance à une mignonne petite fille tout à fait humaine. L’homme fut si content qu’il libéra la femme et ses enfants gardant la petite fille qu’il nomma ; Iriona.
Quelques années passèrent. Iriona était choyer et gâtée. Elle avait tout ce qu’elle voulait, de l’amour paternel et les soins au petits oignons des servantes. Mais ce jours là, celui de son dixième anniversaire, la vie chamboula sous ses pieds.
Tout le château fut alerté de bonne heure par les cris perçants provenant de la chambre de la jeune fille. Même son père ne se risqua pas et tous restèrent alentour de la porte figés. D’interminables minutes passèrent avant que les cris ne se transforment en gémissements et pour que le maître défonce carrément la porte.
-Mais qu’est ce que… Nooooon!!!!
-Désolé…Hip…Désolé papa…
Iriona en larmes regardait son père qui s’était arrêté à un mètre d’elle…De grandes ailes de papillons étaient apparues dans son dos sanglant. En fait, elle avait toujours été hybride mais le processus avait simplement pris plus de temps. Sans se soucier de son jeune âge, son père lui expliqua qu’un hybride n’était qu’un jouet qui ne devait avoir aucune autre raison de vivre que le plaisir de son maître à son égard. Qu’un hybride devait se laisser faire et obéir à tout les caprices ou fantasmes de son maître.
Et c’est sur cette leçon que son père la remis aux traqueurs pour qu’elle se fasse acheter et qu’elle remplisse son –rôle- . En vieillissant, Iriona est devenue une belle jeune femme à la poitrine parfaite qui attire parfois des acheteurs mais étrangement elle ne s’est jamais faite acheter…Étrangement, Iriona semble résigner et prends son rôle de jouet comme une mission que lui a donné son père.
Physique : Iriona à été choyer par la nature. Sa taille fine et son poids de plume lui permette d'user de ses ailes aussi noires que ses longs cheveux soyeux. Son visage aux traits fins est cependant gâché par ses traits fermes qui auraient dû être détaché pour permettre à son apparence d’être parfaite. Mais comme tout le monde, elle ne peut être parfaite. Pour son habillement, elle n’a qu’un voile gris qui lui cache les parties intimes. Ses doigts sont petits mais souples. La jeune femme à hérité des grands yeux de cristal de ses grands frères.
Mental :
Après toutes ses années passées dans le magasin d’hybride, Iriona n’a plus vraiment de caractère propre, elle obéit au doigt et à l’œil. Bien que sensible, elle n’a pas vraiment de fierté et son seul plaisir est de satisfaire les attentes. Résignée, elle est prête à tout pour avoir la fierté de son père bien que celui-ci l’ai oublié depuis longtemps. Elle ne parle presque jamais et ne pleure jamais. Ce n’est que lorsqu’ elle dort qu’elle a des crises de larmes où elle peut aller jusqu’à crié le mot –Papa-.
Liens :
Aucun pour le moment
Autre :
Même avec; Un membre dans la bouche, un qui la pénétrerais en avant et un autre en arrière, Iriona ne se plaignerait pas.