Nom : Fahrenheit
Prénom : Callypso
Surnom : Cally
Âge : 22 ans
Sexe : … a preuve du contraire…c’est une femme
Cally : Non mais o tu regardes où là ?
Me : Ta pas un petit truc qui pourrai pousser ?
Cally : Mais mais mais ..
Me : J’ai l’habitude des mecs mais bon, non c’est bon ça fera l’affaire, te force pas. ^^
Sexualité : Bisexuel, pour des raisons tout a fait explicables.
Métier : Etudiante en université ( si il n’y a pas de problème )
Niveau social : Aristocrate
Famille : Cally à toujours vécue dans une famille où posséder le plus grand nombre d’esclaves était un signe de fierté, bien sûr, cette idée que partageait ses cousins, frères et parents était bien différent de ses idées à elle et ses relations avec eux en pâtit fortement.
Son père était très fière de sa petite Cally et la gâtait beaucoup, mais lui reprochait sans cesse de ne pas comprendre pourquoi elle ne voulait pas d’esclaves.
Histoire : ( mes histoires sont normalement plus longue mais je n’en n’ai pas le courage en ce moment :3 )
Cally a toujours été une petite fille qui n’avait aucun problèmes, ses parents étaient riches, elle avait la meilleure éducation et dans ce monde, tout allait pour le mieux .. mais… dans ce monde même, se passait quelque chose qu’elle n’aimait pas. Les esclaves, c’était quelque chose qu’elle ne comprenait pas. Pourquoi tout le monde avait tant besoin d’avoir un esclave… Était-ce vital ? Que pouvait apporter le fait d’avoir un esclave si ce n’était que lui faire du mal ? Les gens ne voyaient ses personnes que comme des êtres inférieurs, comme des riens, que dis-je, des "personnes" quelqu’un avait-il seulement employé une seule fois ce mot pour un Neiko, un Hybride ou un esclave.
Petit a petit, Cally évolua dans cette famille ou l’esclavage était peut être pire qu’autre part… soit disant d’après eux que c’était une tradition et que leurs ancêtres faisaient ça et leurs ancêtres avant eux encore et encore. Mais Cally était l’exception… rien, elle n’en éprouvait aucun besoins et malgré tous les assauts de son père, rien ne changeait... mais un jour, une nouveauté apparue.
- Monsieur, que faites vous chez nous ? Madame Fahrenheit venait de descendre l’escalier de la grande demeure quand elle croisa un jeune homme aux cheveux blonds froncés tirant sur le brun, attachés en longue queue de cheval, les yeux noisettes et un visage de glace. Il tourna doucement son visage inexpressif vers la dame richement parée, quand elle sursauta.
- Cally ! C’est toi ! Mais, cet accoutrement… que,…tu ressembles à un jeune homme au visage si … oh.
- Je ne suis pas cally.
- Quoi ?
- Je suis Raphaël Defontenelle et je suis venu vous voler.
- Quoooi ! Cally, ne fait pas la bécasse !
Le jeune homme qui s’avérait être en effet cally s’envola avec une agilité impressionnante par la fenêtre, emportant un coffret remplit de bijoux de grande valeur. Le fait que Madame Fahrenheit avait prit sa fille pour un jeune homme, c’était que Cally n’avait jamais eu de poitrine et, son visage d’une beauté naturelle, sans artifices aurait aussi allé à un jeune homme androgyne et aussi fin que sa propre enfant.
Quelques heures plus tard, ses parents entrèrent dans sa chambre et la trouvèrent endormie, épuisée sur le lit, ses cheveux étaient détachés, mal peignées et ses vêtements n’étaient pas très bien ajustés. Son père se précipita sans précautions et l’attrapa par le bras, la réveillant en sursaut.
- Père ! Que faites vous ?
- Et toi ! A quoi tu joues ? Qua tu fais du coffret de ta mère ?
- Je ne vois pas de quoi vous parlez !
Après de longues explications, questions, cris et interrogations, ses parents découvrirent que leur fille n’avait rien à voir avec l’incident, enfin si, mais, ce n’était pas « elle ». Cally avait développée une schizophrénie aigue. Elle devenait pendant ses crises, « Raphaël Defontenelle », voleur d’avant, ayant vraiment existé et qui était mort par châtiment pour avoir tué les occupants d’une maison qu’il avait volé. Cally apprit cette facette d’elle de ses parents et ignorait totalement comment ce Raphaël était en elle, elle ne le connaissait pas jusqu’à que ses parents lui apprennent. Elle n’avait pas pu l’inventer puisque il avait vraiment existé, c’était troublant. Elle appartit aussi que lorsqu’elle était Raphaël, elle devenait vraiment un jeune homme d’une charmante beauté, élégant et envoûteur à qui on ne pouvait soupçonner le fait d’être réellement une fille. C’était comme une évidence, a coté de Cally, il n’était pas Cally, il était son jumeau masculin et la transformation était étonnante,… même la voix naturelle de Cally ne m’était en doute sa masculinité androgyne.
Cally évolua grandit avec ce problème et continua ses études pour devenir médecin reconnu comme elle l’espérait, mais à ses 22 ans….
- Assez Cally ! Pourquoi tu n’es pas comme nous ! Je t’ordonne de prendre un esclave, un familier, ce que tu veux !
- Non
- Cally, si tu refuses, je ne te payerai plus l’université !
- Papa …
C’est ainsi, qu’en se jour ensoleillé, Cally se rendue, obligée, dans un de ses endroits, où on l’achète sans problème, un être, qui possède un cœur, une âme et des sentiments. Elle trouvait horrible de devoir choisir entres toutes ses personnes mais finit par se décider, dégoûtée contre son père, dégoûtée contre ce système, dégoûtée contre elle.
Physique : Cally est un ange, et par chance, elle y ressemble...un délice de dieu.
Ses lèvres bien régulières et appétissantes, son nez, ni trop fin, ni trop épais, ni trop long ou petit. Sa peau douce, fruitée et ses yeux félins couleur noisette. Cally met surtout à l’évidence, sa longue chevelure d’un blond foncé qui reflète une couleur miel au soleil. Elle aurait commencée à les laisser pousser étant enfant, puisque maintenant, ces grands fils de soie s’étendent jusque dans le creux de ses reins.
Les traits de son visage sont fins et doux, elle rappelle les délicieuses fées qui peuple l’eau et les végétaux, sa beauté est comparable a un flocon de neige.
Parlons de ses yeux, ses longs cils, mais surtout son regard et cette couleur noisette ambre. C’est un des rares présents qu’elle partage sans reproche avec ses parents. Se teinte de prunelle si rare était aussi étrangement celle de Raphaël du temps où il était encore en vie. Elle partage également sa maigreur affligeante avec ce jeune homme d’avant, pire, sa maigreur s’étend à sa poitrine vu qu’elle n’en possède pratiquement pas, en tout cas derrière ses habits, celle-ci disparaît facilement.
Mental :
Cally => Cally est une jeune femme douce, naïve et perdue qui ne sait pas comment réagir face aux choix de certains. Elle accepte les décisions des autres, mais la souffrance des êtres « inférieur aux humains » lui fait mal. En présence d’eux, elle se sent coupable et ne sait pas comment réagir. Il lui arrive donc de se trouver impuissante et même de faire des erreurs… si elle n’avait pas été de milieu noble, elle aurait sans doute été un esclave elle-même, sa gentillesse la rendant faible. Elle espère devenir plus forte, mais à peur que pas seulement changer sa sensibilité, mais tout ce qui fait qu’elle est « Cally ».
Raphaël => C’est une personne totalement opposée à Cally. Raphaël est sûr de lui, il va toujours de l’avant et devance même les autres. Il est fier, doué et charmeur. Il est coureur et aime autant les femmes que les hommes, mais vu le corps qu’il habite a présent, les hommes sont des cibles vers lesquels il se dirige plus facilement. C’est un être tourmenté et insaisissable. Il fuit les responsabilités et la société. Contrairement à ce qu’on pense, il apprécie Cally et montre qu’il aime habiter son corps, il se sert d’ailleurs souvent derrière son dos des atouts du corps candide de la douce Cally. Il est imprudent et ne fait pas attention aux risques qu’il prend et ne tardera pas à se faire attraper par un chaton trop joueur.
Signe particulier :
Cally est Schizophrène
