Nom : Vanimedlë
Prénom : Maëlys
Âge : 20 ans
Sexe : Féminin
Sexualité : Bisexuel
Métier : Prostituée
Niveau social : Très Riche
Famille :
Maëlys est descendante d’une famille de riche noble. Son père et sa mère appartiennent au milieu de l’aristocratie et semble dépourvu de toute affection pour leur fille. La jeune femme ne possède aucun frère et sœur, ses parents pensent que l’éducation de leur fille coûte
Déjà bien trop chère à leurs goûts. Héritière d’une immense fortune, la jeune femme attend avec impatience qu’un coup de téléphone lui apprenne la mort de ses parents.
Histoire :
Que dire de l’histoire de Maëlys si ce n’est qu’elle peut être banale et sans intérêt comme toutes les autres histoires. Après tout, qui se soucie du passé des autres ? Qui prête attention aux souvenirs lointains ? Qui se présume assez bien pour connaître nos soucis et nos pleurs ? Hé bien tout le monde, il faut bien l’avouer. Le passé, c’est quelque chose que le monde entier recherche et c’est bien pour cela qu’aucun n’être humain n’accède au bonheur. Alors comme tout le monde, Maëlys va vous racontez son passé, pour que vous en sachiez un peu plus sur elle et son âme de riche gamine.
Ce fût une naissance assez arrosé, et assez désintéressé de l’enfant a vraie dire. Tout le voisinage, toute la famille des riches Vanimedlë avait été invité et tout ce qui les intéressait c’était bien évidemment de constater de leurs propres yeux que cette nouvelle famille était bel et bien aussi riche qu’on le prétendait. Ils avaient, disait on, fait fortune dans le textile ou l’automobile, personne ne s’en souciait trop, tout ce qui comptait c’était de constater qu’ils étaient aussi riche que Crésus.
La petite fille grandit dans un monde de richesse et d’éclat d’or. Ses parents lui accordait tout ce qu’elle voulait, du moment qu’en retour elle était sage et faisait tout ce qu’on lui ordonnait. Rien de bien extraordinaire jusqu'à présent, si ce n’est que la jeune femme était déjà d’une beauté incomparable.
Plus les années passaient, plus la fillette semblait prendre du caractère et de l’audace. Elle se rebellait contre ses parents, ne semblait en avoir rien à faire de tout les cadeaux qui lui offraient et le monde de l’aristocratie était, pour elle, mensonge et lèchebotisme. Des pensées de fugues effleurèrent son esprit de nombreuses fois, mais s’envolèrent rapidement quand elle pensait que sans argent, elle ne survivrait pas et que malgré l’immense richesse de ses parents, s’ils apprenaient sa fuite, ils lui couperaient les vivres. Il valait bien attendre ses 18 ans pour que ses parents lui versent une part de leurs fortunes et qu’enfin elle s’en aille de ce monde hypocrite et détestable.
A l’aube de ses 18 ans, la jeune femme, comme prévu, s’enfuit de sa demeure en ne laissant qu’une vague lettre expliquant sa haine envers sa famille. Celle-ci ne chercha pas à la contacter, trop de soucis, trop de ragots s’entendaient déjà sur leurs noms, et il fallait mieux les oubliés plutôt que partir à leurs poursuites.
Malgré l’immense fortune qu’affichait son compte bancaire, Maëlys se laissa aller à un métier dès plus étonnant étant donné sa posture sociale, Prostituée. La jeune femme se surprit à aimer ça et ne se lassa pas d’offrir ses ébats sexuels aux Hommes en échange d’une coquette somme d’argent.
Errant là ou ses pieds la menaient tout en temps récoltant une nouvelle coquette fortune en faisant payer pour une partie de jambe en l’air, Maëlys se retrouva bientôt à Olphéra, petite ville bien agréable à première vue, mais qui semble cacher de délicieux secret d’un aléchant aspect.
Physique :
Maëlys est d’une grande beauté. Tenant ce délicieux et fin corps de sa mère, la jeune femme aborde de fines et longues jambes d’un banc satin, ainsi qu’une poitrine où des Hommes ont souvent perdu leurs regards en péchant sur le sort de leurs âmes. Grande et mince, la jeune femme sait comment se vêtir pour mettre en valeur son corps de rêve mais la vulgarité n’est pas de son univers. Malgré qu’elle exerce le métier de prostituée, elle se vêtit de façon très particulière et se différencie de toutes ces autres femmes. En effet, Maëlys à toujours aimé la mode de l’ancien temps. Portant jupon, longue robe et corset à tout bout de champ, elle préfère se vêtir comme dans les temps anciens, pour se confondre avec une princesse plutôt que de mettre des bouts de tissus en cuir qui couvrent 1/10 de son corps. Toujours magnifiquement habillé tel une gothique romantique, elle aime aussi mettre son visage en valeur par un simple traie de crayon noir sous ses magnifiques yeux d’un bleu transparent électrifiant. Quand à ses lèvres fines et pulpeuses, elle aborde une couleur rouge sang naturelle qui fait ressortir son teint d’un blanc d’ivoire. La princesse a hérité des longes cheveux roux brun de sa mère, ainsi, quand le vent s’amuse à jouer avec ceux-ci, c’est comme un long feu de braise qu’on croyait voir s’animer derrière la jeune femme. La jeune femme possède un piercing à l’arcade droite, un autre sur la langue ainsi qu’un juste en dessous de sa lèvre inférieur.
Caractère :
On associe souvent sa couleur de cheveux à son caractère de feu. Malgré son sage et doux visage d’ange, Maëlys est loin d’en être un. Elle a toujours été de nature révolté et remuante. La jeune femme semble souvent agressive et insociable, son regard de glace trahissant souvent cet aspect de sa personnalité. Déterminé et courage, quand celle-ci à une idée dans la tête, impossible de lui enlever avant qu’elle ne l’est réalisé. Et la plus part du temps, quand ce désir est assouvit, c’est sur une autre proie qu’elle se jette. Ses caprices les plus fréquents sont bien entendus, les hommes. Malgré la fonction qu’elle exerce, cela semble être toujours elle qui choisi son compagnon d’une nuit et toujours, celui-ci semble comme envoûter par le déhancher et la beauté de la jeune femme. Maëlys peut aussi s’avérer être une vraie peste envers les personnes qu’elle déteste et surtout, envers la gente féminine. Les trouvant toute si hypocrite et manière, elle porte une maigre place à ses compagnes de sexe similaires en son cœur. Mais malgré les apparences, au fin fond d’elle-même, la petite princesse n’est autre qu’un ange déchu qui semble perdu en ce monde sanglant et trompeur. Parfois, quand on sait l’observer, on peut voir la flamme glacé vacillant dans ses yeux ses transformer en étincelles féeriques et rêveuses.
