Nom : Naldor
Prénom : Háril
Âge : 17 ans
Sexe : Masculin
Sexualité : Homosexuel (bien qu'il n'aie pas encore expérimenté la chose)
Métier : Gérant de la joaillerie (si possible)
Niveau social : aisé (ça gagne bien sa vie un bijoutier xD)
Famille : Fils uniquement d'une longue lignée de bijoutiers, le post se transmettant de père en fils depuis des générations. A l'ordre du jour, son père est décédé, ce qui lui permet à lui de le remplacer en temps que tel. Sa mère vit toujours bien qu'elle soit tombée gravement malade et se soigne dans un centre spécialisé.
Histoire : Comme tout le monde peut s'en douter, Háril est né normalement comme tous les autres enfants de son âge, dans une salle de maternité, pleurant dans les bras de sa mère pour téter le lait maternel. Puis ce prénom à consonnance bizarre lui fut attribué et sa vie pût enfin commencer sous les meilleurs auspices. Son père était donc bijoutier, renommé d'ailleurs, ayant beaucoup de succès dans le pays, surtout auprès de la gent féminine qui appréciaient tout particulièrement ses oeuvres. Sa mère abandonna son travail (chirurgienne) pour se consacrer pleinement à l'éducation de son fils, ainsi qu'à le former à son avenir tout tracé.
C'est ainsi qu'à partir de sa septième année, le jeune garçon vint aider son père à la bijouterie après l'école, attirant encore plus de clients du fait de son visage charmant et toujours aussi souriant. Seulement s'il souriait c'était bien le genre de sourire "pour faire vendre". Il ne voulait pas se priver simplement de sa petite vie mondaine et de sa grande maison, fort agréable à explorer par ailleurs. Et c'est ainsi qu'en grandissant, la passion du bijou le prit inextricablement. Il créa lui-même quelques modèles et se perfectionna dans la technique grâce aux conseils de son père.
C'est alors qu'à l'aube de sa dix-septième année, un malheur survint: ce soir-là, son père ne revint pas à la maison. Il pleuvait ce jour-là, les routes étaient glissantes et grâce aux nouvelles, ils apprirent (lui et sa mère) que leur malheureux père fût pris par une voiture qui dérapait sur la chaussée. Coup de sort mais le petit curieusement, ne versa pas une larme en assistant aux obsèques. Sa mère par contre, telle une âme soeur, tomba gravement malade. Háril reprit tranquillement le travail de son père et confia sa mère à une institution spécialisée avant de plier bagage et de "s'enfuir" à Olphéra pour ne plus jamais revivre les souvenirs du temps passé. La maison fut mise en vente, à regret et Háril donc, s'installa à la "charmante" ville qu'était Olphéra, située aussi loin que possible de son bourg natal.
Seulement pour s'installer, il lui fallait bien plus que ses frêles petites mains de pianiste comme les décrivaient si bien ses anciens camarades du lycée qu'il venait de quitter. Et pusque Olphéra proposait un choix impressionnant de "main-d'oeuvre" rebaptisées "esclaves" pour l'occasion, autant en tirer profit.
Physique : Háril a tout d'un petit garçon tendre et attachant, même s'il n'en est pas vraiment rien au fond. Ne dis-tu pas mignon visage, sale caractère? Donc bref, Háril hérita surtout des fins traits de sa vie, le rendant assez féminin sur les bords et l'en laissant en jouir. Cela avait non seulement l'attrait des filles de son âge mais de plus cela lui vouait un charme presqu'obsédant lorsqu'il ouvre la bouche. De fines lèvres rosées, un teint un peu pâlot, plus rose par endroits, notamment au niveau des joues, les traits à peine soulignés, délicats, sa peau douce au toucher, ses petits yeux rectangulaires d'un regard bleu-vert charmant, envoûtant. Ses courts cheveux soyeux sont d'un noir de jais, corbeau, contrastant peut-être avec son apparence angélique, à juste titre. Et malgré sa nature d'elle, il est assez frêle et chétif pour son âge.
Mental : Pour définir la mentalité d'Háril, disons simplement qu'il est de nature presqu'indifférente. Oh si, il ressent des choses mais ne le laisse pas percevoir et ne se met jamais en colère pour un rien, doté d'une infinie patience et parfois d'un léger sarcasme. Il n'aime pas la violence, persuadé à raison que les mots causent plus de torts que les coups. Il apprécie tout particulièrement l'art de la bijouterie, fasciné par ce métal que l'on transforme habilement en ces bijoux de qualité que les jeunes filles de bonne famille s'arrachent presque de folie. Il y excelle même et cela attise sa supériorité. Il apprécie qu'on le flatte, tout comme celui de flatter, de jouer peut-être bien l'hyppocrite. Mais si jamais il arrivait qu'il se mette en colère, mieux vaudrait se mettre aux abris et n'en sortir que quelques temps après, tout danger écarté. Qui peut prévoir la réaction que peut avoir une bombe à retardement? Et il n'y a pas besoin de muscles pour terroriser autrui, loin de là.
Liens : Aucun
Autre : Avant de s'atteler à la lecture ou à la réalisation de bijoux, Háril revêt toujours de petites lunettes rondes qui lui vont à merveille, mais qu'il essaye de ne pas montrer trop souvent.